Exhibition et plaisirs en extérieur.
(Pour ce chapître, nous n'avons, hélas, aucune photos
personnelles. Il est des situations où il est difficile
d'être à la foire et au moulin. Mais peut-être
qu'avec la complicité d'un (ou une) photographe ....)
Il nous arrive aussi de sortir nous exciter dans des lieux publics, sur
les promenades des bords de Marne, dans les quartiers chauds de la
capitale ou de nos lieux de villégiature.
La plupart du temps sans culotte, voire avec un plug dans le cul pour
monsieur. Le moment le plus propice est la tombée du jour
où, entre chien et loup il peut y avoir un doute pour les
promeneurs que l'on croise. Madame attise son homme pour que celui-ci
bande et observe le regard des passants et passantes. Elle lui met
ostensiblement la main sur le sexe, à moins que ce soit
l'inverse : la main de monsieur se faufile sous la jupe
légère ou fendue, laissant entrevoir un bijou
tropical ou
une fesse frémissante.
Une fois la nuit tombée, elle lui demande de sortir sa queue
et
de se branler tandis qu'elle glisse deux doigts sur son clito en
l'admirant. Elle peut aussi selon l'appétit, tomber
à
genou et engloutir le gland turgescent : ça, il adore ! se
faire
sucer en plein air a une saveur vraiment particulière.
Une fois bien chauds, elle s'appuie sur un muret ou le tronc d'un
arbre, remonte sa jupe et lui demande de la prendre. En
général, elle n'a pas besoin d'insister
longtemps, il
vient enfiler la délicieuse salope et la baise
vigoureusement.
C'est avec le sperme qui lui coule le long des cuisses qu'elle reprend
la promenade, satisfaite, mais pas rassasiée.

Partenaires
Nos premiers partenaires, nous les avons rencontrés dans les
coins de drague homo. Elle voulait lui offrir ses premières
bites à sucer. Dans les bois, elle lui a fait sortir sa
queue et
lui a ordonné de se branler. Des mecs ont commencé
à
tourner autour de nous en se rapprochant progressivement.
Dès
que la distance le permit, il a saisi la bite et s'est mis à
sucer, sucer ... jusqu'à recevoir quelques
giclées de
foutre sur le visage.
Nous avons adoré, alors nous avons recommencé.
De retour à la maison, nous étions dans un tel
état que nous faisions l'amour en nous
remémorant les
rencontres précédentes. Quel plaisir !

Par la suite nous avons voulu explorer les clubs. C'est à
l'Hyppocampe de St Maur, où nous retournons de temps en
temps,
que madame à goûté à la
pluralité
masculine, car là, les messieurs bi ne sont pas
pléthore.

Ce fut donc plusieurs amants par soirée pour celle qui
s'offrait
à son plaisir sous le regard amoureux et vigilant de son
compagnon.
Encore aujourd'hui, elle aime offrir son corps superbe et gourmand aux
caresses à 4, 6 ou 8 mains, choisissant ensuite ceux qui
auront
le privilège de l'honorer de leur sexe.
Une fois satisfaite, les autres partenaires peuvent se masturber et lui
offrir leur foutre sur le corps.
Par les annonces sur des sites de rencontre, nous avons
passé
plusieurs bonnes soirées avec quelques hommes plus ou moins
bi.

Monsieur a subi sa première sodomie avec un jeune homme, la
tête entre les cuisse de madame. Délicieux
souvenir.

Pour combiner différents plaisirs, nous avons
donné
rendez-vous à 2 ou 3 mecs bi sur les bords de Marne pour que
monsieur les branle et les suce. Il est ainsi rentré
quelques
fois à la maison le visage encore couvert de foutre. Ces
rencontres furtives sont très excitantes pendant leur
préparation, mais finalement ne suffisent pas à
nous
satisfaire.
Nous avons donc ensuite organisé des soirées
auxquelles
nous invitions 3 ou 4 mâles bi actifs. Là aussi,
quelques
bon souvenirs : monsieur enculé et avec 2 bites à
sucer !
Bien que nous maintenions en permanence une certaine tension sexuelle dans
notre couple, nous ne sommes pas des acharnés de la
rencontre.
Nos pratiques libertines ont commencé il y a 3 ans et ne
s'exercent que périodiquement.